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Dernières notes publiées
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La littérature à rebours ou la fin du critique...
Je ressors de mes tiroirs une vieille recension, parue jadis dans La Presse littéraire , en 2007. Elle avait comme mérite de balayer cette époque débilitante, dans laquelle les écrivains décarbonés font la pluie et le beau temps. J'y aborde le début du siècle, et une certaine littérature qu... Lire la suite...
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Entretien avec Laurent James. Fernandel, un...
L’éditeur de Laurent James m’a adressé un curieux récit, décrivant l’acteur populaire Fernandel, de la première moitié du XXe siècle, comme on ne l’avait jamais montré. Selon l’auteur de ce court essai, Fernandel serait un saint. Très intrigué, j’ai décidé d’aller à la rencontre de cet écriva... Lire la suite...
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CLOUZOT
De son tout premier, L’Assassin habite au 21 (1942), avec l’immense Pierre Fresnay, polar aussi limpide que lugubre, jusqu’au dernier, La Prisonnière (1968), chef d’œuvre érotique mais aussi charge contre le monde frelaté du « Pop Art », avec la ... Lire la suite...
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AU SEUL NOM D'UNE DEESSE PHENICIENNE
Un livre de Luc-Olivier d’Algange combine toujours avec bonheur d’indispensables contrefeux poétiques à la laideur du monde moderne. A l’abri des projecteurs qui effacent les nuances comme des cavernes où se forge le ressentiment, il se situe très exactement « entre la lumière ... Lire la suite...
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87
Un léger érythème dessine des spirales sur ses joues, quelle que soit la nature de l'émotion qui l'assaille, émotion qu'elle admet alors sans effort, vulnérable et lucide, qu'elle revendique même. Mais lorsque son visage s'empourpre tout à fait, aucun aveu ne lui est plus possible, ell... Lire la suite...
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77
"L'indignation est un péché plus grave que le mensonge", disait Abellio. C'est d'ailleurs sans doute pour cela qu'elle le recouvre si bien. Elle ressemble soudain à Audrey Hepburn, le temps d'une pause inattendue, et puis sa hâte la reprend et voilà déjà l'illusion défaite. Gre... Lire la suite...
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59
Elle le trompe. Il aimerait faire le beau, tenter la commisération, lui expliquer doctement qu'elle se trompe, mais il sait bien que c'est ainsi qu'il la tromperait. Il faut imaginer le Grand Réac et le Grand Progressiste comme deux manitous, deux figures avec beaucoup de plumes et de... Lire la suite...
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PRISONS
"On peut imaginer qu'aux plus hautes époques les hommes éveillés et initiés à la toute-présence du sacré vivaient dans une autoconnaissance beaucoup plus intense et vivante qu'aujourd'hui. Mais on ne fera pas du nouveau avec de l'ancien. Selon Jean de la Croix, nos cinq sens sont les pris... Lire la suite...
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